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Dans cet article, nous résumons les principales conclusions et recommandations d’une étude réalisée en 2023 par Bauer et al. qui explore le cathétérisme intermittent (CI) chez les enfants et les adolescents en milieu scolaire.

Les infections urinaires récurrentes chez les enfants atteints de vessie neurogène constituent un risque élevé d’entraîner de graves lésions rénales et doivent faire l’objet d’une attention particulière. Cette étude est utile pour déterminer les traitements et les mesures proactives pour prévenir les infections urinaires récurrentes.

L’hyperplasie bénigne de la prostate (HBP) est l’un des principaux diagnostics chez les hommes. Environ 100 000 hommes sont traités par chirurgie transurétrale de la prostate (RTUP) chaque année, ce qui en fait l’une des interventions chirurgicales les plus courantes aux États-Unis et dans plusieurs autres pays.

Dans cette présentation, vous découvrirez l’anatomie du système urinaire, la fonction des voies urinaires supérieures et inférieures, ainsi que la physiologie de la vessie et le cycle de la miction.

Prolapsus signifie « tomber en avant ». Le prolapsus des organes pelviens (POP) se produit lorsque les parois vaginales, l’utérus ou les deux perdent leur soutien normal et tombent hors de leur place. D’autres organes pelviens voisins, tels que la vessie ou l’intestin, peuvent être impliqués et également « tomber » de leur position normale dans le corps. La cystocèle est le type de POP le plus courant.

La vessie neurogène est un trouble du bas appareil urinaire créé par des lésions nerveuses ou des maladies du système nerveux.

L’appareil urinaire est responsable de l’élimination des déchets et des liquides en excès dans l’organisme, grâce à la production et à l’excrétion d’urine.

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L’appareil urinaire est responsable de l’élimination des déchets et des liquides en excès dans l’organisme, grâce à la production et à l’excrétion d’urine.

La rétention urinaire est l’incapacité d’évacuer la totalité de l’urine de la vessie, ce qui crée un volume résiduel d’urine qui peut causer des complications. Il est important de savoir que même si certaines personnes parviennent à uriner, elles peuvent souffrir de rétention urinaire car le volume restant dans la vessie est trop élevé.

La vessie est un organe musculaire creux situé dans le bassin, juste au-dessus de l’os pubien et à l’arrière de celui-ci. Ses deux fonctions principales sont le stockage et l’évacuation de l’urine.

La maladie, le vieillissement ou les lésions peuvent entraîner une perte de contrôle de la vessie en affectant sa capacité à stocker et à évacuer l’urine.

Le sondage est peut-être l’une des plus anciennes techniques urologiques, remontant à plusieurs milliers d’années. Il est nécessaire d’utiliser une sonde urinaire lorsqu’il reste de l’urine dans la vessie qui ne peut être vidée normalement.

La sclérose en plaques (SEP) est une maladie neurologique chronique qui touche le système nerveux central, c’est-à-dire les nerfs du cerveau et de la moelle épinière. Les personnes qui en sont atteintes ne présentent pas toutes les mêmes symptômes.

With more than 30 years on the market, LoFric has been used and documented in several ways. In addition to efficiently emptying the bladder, LoFric’s versatile use includes treatment and prevention of recurrent strictures, administration of chemotherapy by bladder instillation, and resolution of rare complications.

At Wellspect HealthCare we take our environmental responsibility seriously. We continuously work to minimize the environmental impact related to our products. We ensure that proper materials are used and all applicable production requirements are followed.

Bladder instillation is used for local administration of drugs into the bladder. This is used for treatment of interstitial cystitis and cancer, for example. Drugs are being delivered by catheters and a hydrophilic-coated surface such as that of the LoFric catheters reduces the risk for trauma associated with instillation therapy.

A urethral stricture is an abnormal narrowing of the urethra and is often caused by trauma or inflammation.

Patient adherence plays a key role in a successful and cost-effective catheterization treatment. A patient who feels part of the decision-making, in control of his options and how they work with his lifestyle is more inclined to stick with his therapy and subsequently experience a good clinical outcome.

Urine often has a high concentration of particles and low content of water. This is referred to as high osmolality. Urine osmolality has a direct effect on catheter lubrication and plays an important role for people who use hydrophilic catheters. Catheters with a surface osmolality in balance with urine is key to reducing withdrawal friction.

A lubricated catheter is recommended to reduce damage to the urethra and lower the risk of hematuria which is a common complication. A cross-over study comparing different hydrophilic catheters showed an even lower frequency of hematuria in patients who chose LoFric.

Extensive studies support scientific literature claiming that use of hydrophilic catheters reduce urethral trauma and urinary tract infections. This in turn can minimize the need for antibiotics. Because of these benefits, we now know that hydrophilic catheters are one of the most cost-effective ways to prevent long term urological complications in general and UTI in particular.

Single-use hydrophilic catheters were developed in the early eighties to address long-term complications of intermittent catheterization as seen when reusing plastic catheters with add-on lubrication.

For those who cannot empty their bladder the normal way, intermittent catheterization is the therapy of choice to maintain urethral health. Complications are common but when hydrophilic single-use catheters entered the market, the risks of UTI dropped significantly. Low friction seemed to be key to maintain urethral health. Today, there is only one hydrophilic catheter that is scientifically proven to reduce complications also after long-term use.

According to WHO the problem of antimicrobial resistance is so serious that it threatens our modern healthcare system.1 By 2050 it may cause 10 million deaths2 or more if we lose our ability to use effective antibiotics.

Introduction of a no-touch catheter/technique for intermittent catheterization seems to be well accepted both by caregivers and patients and it is not necessarily associated with higher costs. On the contrary, it could potentially reduce costs, saving time and errors in the healthcare system and reduce infection complications in general. The clinical evidence level is low for using no-touch technique/catheter to reduce UTIs but current available studies suggest benefits of it.

Available clinical evidence supports the strategy to always consider intermittent catheterization as the first therapeutic choice, before considering the use of an indwelling catheter. Intermittent catheterization is the first therapeutic choice and is a safer bladder management method than both urethral and suprapubic indwelling catheters. Intermittent catheterization is central to reduce morbidity related to renal failure and neurogenic bladder dysfunction.

A surprisingly high number of patients reuses catheters intended for single-use every day putting them at risk for unnecessary complications. Single-use hydrophilic catheters for intermittent catheterization lower the risk for short- and long-term complications and are a convenient and preferred choice for many patients.

Catheter associated urinary tract infections (CAUTI) are common in the hospital setting with consequential morbidity and mortality. The risk of bacterial adhesion and invasion of the urinary tract increases with use of an indwelling catheterization and may be reduced by adopting intermittent catheterization using hydrophilic single-use catheters.

Le SI nécessite une forte implication du patient et certaines personnes peuvent décider de ne plus le pratiquer, en particulier si elles sont stressées ou si elles doivent faire face à d’autres maladies. Les patients doivent être très motivés et avoir une bonne dextérité.

L’incontinence par regorgement est la perte involontaire d’urine lorsque la vessie est incapable de se vider correctement en raison d’un obstacle à l’écoulement ou d’un muscle détrusor hypoactif. Ces symptômes sont souvent décrits comme des symptômes du bas appareil urinaire (SBAU).

Lorsque les bactéries ont la possibilité de se multiplier et de se fixer sur la muqueuse vésicale, elles provoquent une infection des voies urinaires (IU ou infection urinaire), désignées sous le terme médical de cystite. Lorsqu’une infection urinaire affecte le haut appareil urinaire, les reins et/ou le bassinet rénal, on parle de pyélonéphrite.